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27 mars 2007 2 27 /03 /mars /2007 00:26

Robes et tenues de mariage

Trouver chaussure à son pied

Corbis

Une fois votre robe choisie, reste à dénicher les chaussures assorties, un achat non négligeable. Quelle que soit la longueur de votre robe, elles pointeront fatalement le bout de leur nez. Escarpins, mules ou bottines ? Votre cœur balance ! Quelques idées pour être belle jusqu'à la pointe des pieds…



  • La chaussure : une touche de chic

    Plus qu'un accessoire, la chaussure sera la touche chic de votre tenue. Son choix est très étroitement lié à celui de la robe. Elles devront être incontestablement assorties…

    Le must consiste à faire recouvrir ses souliers du même tissu que la robe par un couturier ou un cordonnier, si le cuir est trop épais. Une autre solution consiste à les teindre, lorsqu'elles sont en satin par exemple. Par ailleurs, quelques spécialistes proposent un choix de chaussures spécialement destinées à être recouvertes par le tissu de votre choix.

    Du côté des grandes enseignes, vous trouverez des modèles s'inspirant de la tendance du moment et peut-être plus facilement réutilisables. Bien sûr, le choix de couleurs claires - blanc ou écru - sera bien plus vaste à la saison chaude. En dernier recours, vous en trouverez tout au long de l'année chez un accessoiriste de mariage. Mais rien ne vous empêche d'égayer vos pieds de quelques touches colorées, assorties aux motifs de votre robe, aussi infimes soient-ils : rose, violet, rouge… Pour être dans le coup, laissez-vous tenter par un talon doré, une semelle en fourrure ou des incrustations de pierres.

    D'une manière générale, restez très proche de ce que vous portez habituellement, le talon de trois ou quatre centimètres suffit largement. Sinon, plus haute pourrait être la chute !

  • Tous les styles sont permis

    Pour chausser votre pied de future mariée, tout ou presque est possible.

    L'escarpin, chaussure relativement découverte à semelle fine, donnera beaucoup de classe à votre tenue. La version la plus sobre sans lanière avec un talon assez conséquent, très glamour, convient à tous les styles de robe.
    Les plus jolies chevilles pourront s'enlacer d'une fine bride ou même un ruban de danseuse. Pour un romantisme absolu, choisissez une lanière plus conséquente mais ornée de cœurs, tellement de circonstance !

    Très en vogue et très chic, les mules assorties d'un petit talon sont dans toutes les vitrines. L'avantage : vous ne vous sentirez pas bridée ! Mais un minimum d'entraînement s'impose si vous ne souhaitez pas vivre la même mésaventure que Cendrillon !

    Beaucoup plus plates mais idéales avec une robe vaporeuse ou en tulle, la ballerine ou "les babies" sont également très tendance. Les puristes iront tout simplement se fournir comme tout danseur chez Repetto. Cette chaussure existe également avec un talon et légèrement pointue.

    Enfin, pourquoi pas adopter la bottine à talon ? Pour mettre en valeur une robe à volants ou accentuer un style western ou gitane : métallisées et en python ou encore incrustées de pierres comme Madonna pour ses noces écossaises…

    Un conseil : quel que soit votre choix, achetez vos chaussures suffisamment tôt pour les faire à votre pied. Pas question de les enfiler pour la première fois le jour des noces si vous ne voulez pas finir la soirée… pieds nus. Ce serait dommage !

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27 mars 2007 2 27 /03 /mars /2007 00:23

Robes et tenues de mariage

Se marier enceinte

Corbis

Afficher une grossesse bien avancée le jour de ses noces ne choque plus. Très tendance, la maternité se porte même plutôt bien et trouver une robe adaptée à ses formes de future maman n'est plus mission impossible. Alors pas question de camoufler votre petit bidon ni d'arriver le souffle court, les nerfs à fleur de peau et la mine défaite.



  • Une tenue pour deux

    Formes
    Sans chercher à masquer à tout prix votre ventre, évitez certaines formes inadaptées à votre état : les tailles marquées, les froufrous, les rubans et les robes Sissi volantées. Préférez les formes fluides, les tailles hautes ou les robes de style "Empire" marquées en dessous de la poitrine. Frôlez sans mouler avec des matières légères : organdi, mousseline, coton. Investissez dans un bon soutien-gorge à votre nouvelle taille et à larges bretelles pour éviter les marques.

    Couleurs
    Question couleur, même consigne : la simplicité. Même si les fleurs sont tendance, prenez gare aux effets trop chargés. Jouez plutôt avec les accessoires : un chapeau ou une paire de gants.

    Chaussures
    N'allez pas vous percher sur des escarpins ou talons aiguilles, qui accentuent les douleurs dans les reins. Votre centre de gravité s'est déplacé et vos ligaments sont plus souples pendant la grossesse. Évitez également les mules qui tiennent mal le pied. Des chaussures en toile légère à petit talon mais pas trop plates, pour ne pas que la voûte plantaire s'effondre, conviendront parfaitement.
     

  • Mesures et sur-mesure

    Taille
    La principale difficulté consiste à anticiper sur la taille et la forme que prendra votre corps pendant ces quelques mois. Achetée le plus tard possible, en prévoyant large, vous pouvez vous offrir une classique robe fluide (en mousseline de soie ou en organza par exemple).

    Sur mesure
    L'idéal, pour une robe unique et parfaitement adaptée à votre anatomie, est de s'offrir du sur mesure. Certains couturiers proposent un modèle "spécial femmes enceintes" dont le montage final se fait au dernier moment. D'autres réaliseront tous vos rêves en adaptant la plupart de leurs modèles. Il faut compter au moins quatre essayages. Les derniers ajustements se déroulent une ou deux semaines avant le jour J.

  • Les formes et la forme

    Pour arriver détendue...
    Faites-vous chouchouter. Il existe désormais des cures de thalasso prénatales pour se décontracter et rester en forme (à Deauville, Oléron, La Baule ou Saint-Malo…). Plus près de chez vous, offrez-vous des massages en institut, faites de la gym aquatique.

    Encore plus simple, effectuez régulièrement quelques mouvements à la maison après un bain chaud :

    - Pour adoucir les ligaments : mettez-vous en tailleur sur le sol, le dos droit, la plante des pieds en contact devant vous. En respirant profondément, ramenez les pieds lentement vers le corps en relâchant les hanches et la colonne vertébrale.
    - Pour bien respirer : un exercice d'origine zoulou consiste à emplir totalement les poumons par trois inspirations consécutives puis à expirer en un long souffle continu pour expulser les pensées négatives.
    - Pour alléger les jambes : massez-les dès que le besoin s'en ressent avec un mélange de deux gouttes d'huile de géranium et d'huile de citron mélangées à de l'huile d'amande douce, ou avec un produit adapté.
    - Pour le dos : faites le crocodile ! Allongée sur le dos, écartez les jambes et fléchissez les genoux. Inspirez puis expirez en descendant les genoux d'un côté et la tête de l'autre puis inversez. Les pieds restent en contact avec le sol.

    Dernière minute
    Pour faciliter le sommeil, prenez la veille du mariage quelques gouttes d'essence de fleur de camomille dans de l'eau.

  • Une belle future maman

    Pour le grand jour, mettez vos nouveaux atouts en valeur : votre décolleté, vos bras et vos jambes s'ils sont restés minces. Sous l'action des hormones, vos cheveux n'ont jamais été aussi beaux, profitez-en. En Afrique, les femmes enceintes ne nattent pas leurs cheveux pour ne pas, symboliquement, nouer le cordon !

    Si vous vous trouvez un peu trop ronde, rien ne vous empêche de tricher un peu avec la coiffure ou le maquillage. Des mèches dégradées ou plus folles dans un chignon cascade allongent le visage. Un teint mat et doré vous fera paraître plus fine. Enfin, étirez votre blush vers les tempes plutôt que vers les pommettes, posez l'ombre à paupières en V et non en un halo pour ne pas écarquiller les yeux.

    Conseil
    La transpiration s'accentue durant la grossesse. Ayez toujours à portée de main un brumisateur, préférez les matières naturelles comme le coton ou le lin et au dernier moment, frictionnez vos mains d'alcool camphré.

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27 mars 2007 2 27 /03 /mars /2007 00:21

Robes et tenues de mariage

Robe de mariée : trouvez votre style !

Corbis

Vous avez déjà choisi le style de votre mariage ? C'est le moment d'y associer une tenue adéquate.
Si vous devez choisir votre robe sur un coup de cœur, faites-le avec méthode.
Respectez votre style, jouez avec vos formes, misez sur le confort : ce sont les trois premiers principes à ne pas perdre de vue.




  • Comment choisir sa robe de mariée ?

    La robe de mariée type existe-t-elle ? Oui… et non. Retour du blanc ? Oui. Place à la couleur ? Oui aussi. Longue ? Oui. Courte ? Oui aussi… Si tout, ou presque, est permis, le blanc et toutes ses nuances (craie, ivoire, coquille d'œuf) dominent nettement.

    Le bon modèle de robe de mariée est multiple et doit convenir à chacune selon votre âge, votre style et vos mensurations :

    - Fluide et près du corps (surtout pas moulante !) la robe affinera les silhouettes un peu rondes et sublimera un corps élancé et mince.

    - Fourreau, il ne laissera rien passer et sera à adopter uniquement si l'on se sent belle et bien dedans. Impensable d'être boudinée ce jour-là !

    - Buste ajusté et jupe large, évasée ou bouffante sont le duo gagnant pour une femme mince qui rêve d'une robe dite "princesse".

    - Courte et évasée, elle sera un brin impertinente et très jeune. À choisir si vous avez une silhouette plutôt fine et un style peu classique.

    - Courte et droite, robe ou tailleur : convient à peu près à toutes celles qui jouent la sobriété et la simplicité. Le court n'exclut pas l'élégance et la tenue. Bien accessoirisé, il peut être très "chic" !
    Comment choisir ?

    L'idéal pour trouver sa robe est tout simplement d'essayer les différentes formes. Le choix s'imposera de lui-même face au miroir. C'est l'orientation générale qui compte, libre à vous de prendre ensuite le temps de choisir les manches, la forme du décolleté devant et dos, les accessoires. Chaque marque se laisse ensuite guider par des thèmes, des envies et cela donne de nombreuses variations sur court ou long.

    Deux options pour choisir la forme de sa robe :
    - en essayer plusieurs dans une boutique de prêt-à-porter qui adaptera ensuite la robe à vos mesures
    - opter pour un créateur qui vous fera essayer des toiles de différentes formes avant de vous proposer une réalisation sur mesure ou en demi-mesure.

  • Quel style de robe de mariée pour vous ?

    La robe classique
    Princesse vous serez, Sissi moderne enveloppée dans une longue robe dont le classicisme impose de demeurer dans une nuance de blanc, de l'ivoire au coquille d'œuf. Il ne vous restera plus qu'à dévoiler le rose du bonheur qui vous monte aux joues par la grâce d'un voile.

    La robe fourreau
    La silhouette d'Audrey Hepburn illuminant "Diamants sur canapés" vous est restée inoubliable. Vous qui avez le privilège de cette superbe ligne fuselée trouverez parfaitement à vous mouler dans une robe divinement étroite.

    La robe citadine
    Jeune mariée, certes... mais femme avant tout. Vous êtes moderne, dynamique, active et n'aimez rien tant que le charme de la ville. Point de longueurs pour vous : une jupe au genou dévoilera la ligne de vos jambes en une allure très contemporaine.

    La robe fleurie
    Qu'il s'agisse de respecter le ton d'un mariage champêtre ou d'apporter une touche bucolique à une cérémonie tout à fait traditionnelle, les fleurs ne relèvent plus ici de l'accessoire, mais imposent leur thème : romantiques et sages.

    La robe manteau
    Parfum d'hiver pour une princesse de grand nord, le duo robe-manteau s'avère d'une extrême élégance, mariant simplicité et raffinement pour une longue silhouette. Ce modèle s'adapte aussi aux temps printaniers par le choix de matières légères, couvrant délicatement les plus frileuses.

    La robe de couleur
    Votre mariage est jour de fête et la fête se décline en couleur. Pour ne point trop vous distinguer, vous opterez pour la douceur tendre des pastels, du bleu au lilas. A moins que vous ne préfériez revendiquer un camaïeu de jaune éclatant, idéal pour peau bronzée.

    La robe épurée
    La robe fluide et épurée offre une belle alternative aux partisanes des tenues classiques et sobres, qui ne s'imaginent guère plus moulée que perdue dans le bouffant. Un drapé au décolleté ou une étole en mousseline tombant négligemment des épaules apporteront une très distinguée touche finale.

    La robe de dentelle
    Il n'est pour vous point d'élégance sans la transparence et la légèreté de la dentelle. Vous adorez sa finesse délicate et sa fragilité apparente. En l'adoptant avec parcimonie sur le buste ou sur la jupe, vous ferez un choix classique mais éminemment raffiné.

    La robe dorée
    Vous rêvez de scintiller comme les étoiles le jour de vos noces. Lumineuses, uniques, ou de caractères, les robes dorées donneront un style bien à vous, pour une union aux accents royaux.

    La robe plissée
    Robe longue et jupon soyeux. Matières originales et tombé parfait. Attendez-vous aux plus beaux effets avec le plissé : superposé, majoritaire, en touches éparses... Pour une robe unique et de caractère.
    Et pour voir des modèles différents selon le style, rendez-vous sur notre défilé en ligne.
     

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27 mars 2007 2 27 /03 /mars /2007 00:18

Robes et tenues de mariage

Il était une fois, la robe de mariée

Corbis

À des années-lumière de l'actuelle robe "Sissi" ou "fourreau", à quoi ressemblait la mariée des temps anciens ? La tenue de noces fut longtemps anodine, semblable à celle de tous les jours. Malgré l'émergence de la traditionnelle robe blanche, elle fut et reste le reflet de la mode féminine. Toute une histoire…



  • La robe de mariée au gré des modes

    Au cœur de la noce, votre robe de mariée cherchée ou confectionnée pendant de longs mois sera la reine d'un seul jour. Mais il n'en a pas toujours été ainsi.

    Bien avant d'adopter la traditionnelle robe blanche, la jeune fille choisissait tout simplement parmi ses tenues quotidiennes la robe qui avait la plus belle couleur.

    C'est seulement depuis le Moyen-Âge que la tenue de mariage fait l'objet d'un achat. Son style est déterminé par le rang et les ressources du jeune couple.

    Quant à l'utilisation systématique du blanc pour la cérémonie, elle vient de l'Église. C'est en effet elle qui, à partir du XVIème siècle, instaure la publication des bans, la présence des témoins, du curé, et prescrit « solennité et éclat » pour la tenue. La robe blanche, la dernière portée par la jeune fille avant son entrée dans le monde, est exclusivement conçue pour cette cérémonie solennelle.
    Les siècles suivants, avec les transformations spectaculaires de la mode et la multiplicité des styles, la future mariée cherchera à personnaliser au maximum sa robe des temps modernes. C'est ainsi que le XXème siècle voit apparaître des mariées sensuelles qui osent la transparence, les tulles et les dentelles, et recherchent l'originalité.

    Les créateurs de haute couture s'en emparent alors et s'en donnent à cœur joie, laissant libre cours à leur imagination. Et ce n'est pas par hasard que leurs défilés se clôturent sur la robe de mariée : la consécration d'une union réussie entre le monde de la mode et la nuptialité.
     

  • Avant la traditionnelle robe blanche

    À l'instar des hommes, les femmes se sont contentées d'enfiler des tuniques, et ceci pendant des siècles. Plus ou moins ceinturées et de longueur variable, elles étaient en lin, en laine ou en chanvre - la soie étant réservée à l'élite - et les tissus s'ornaient parfois de bandes de couleur et de fils d'or ou d'argent. Plus que la forme ou même la couleur, c'était l'aspect luxueux de l'étoffe et la qualité du tissage qui importaient.
    Un élément bouleverse la mode au XIVème siècle : alors que la tenue masculine se raccourcit, le vêtement féminin s'ajuste au corps. Pour la première fois, le buste est mis en valeur par des coutures et laçages : la silhouette contemporaine est née. De nouvelles matières apparaissent : coton, velours et fourrure. Les fastes de la Renaissance feront le reste.

    La taille, par une ceinture placée sous les seins, est mise en valeur, les traînes des robes allongent la silhouette, le décolleté s'accentue. Dentelles, galons, rubans, or et velours épais affluent d'Italie.

    Au XVIème siècle, le "vertugadin" - jupon cerclé d'un anneau d'osier, ancêtre du panier et de la crinoline - et le "corps piquet" ou corset chamboulent la mode féminine. Les jupes de couleur vont alors se superposer et les matières se mélanger.

    La sophistication est poussée à l'extrême avec les robes "volantes" très volumineuses du XIXème siècle qui, après la Révolution française, ne seront portées que lors des mariages de la cour royale.
     

  • La robe de mariée des temps modernes

    Lorsque le blanc émerge à la fin du XVIIIème siècle, la Révolution française a instauré le retour à la simplicité des lignes. La robe en mousseline de coton blanc d'une seule pièce fait alors son apparition : la silhouette de la mariée est la même que la communiante, tout juste amplifiée par des volants.

    Produit de la mode parisienne, la robe blanche s'implante lentement en province. Le costume régional est encore très ancré dans les campagnes françaises du XIXème siècle et la mariée est encore bien souvent en noir.

    Nouvelles technologies et nouvelles matières apparaissent avec la révolution industrielle. Certaines "marchandes de mode" commencent à se spécialiser dans le mariage et sont rapidement suivies par les grands magasins. La robe nuptiale est alors une transposition de la robe de bal, très en vogue, avec un corsage fermé pour la cérémonie religieuse et un autre plus décolleté pour le soir.

    Avec le XXème siècle, le corset disparaît et la robe raccourcit. Dans les années 30, tenue de ville ou de soirée, la robe de mariée est à mi-mollet, puis sous les genoux après la seconde guerre mondiale. Sans coupe distinctive, elle est plus que jamais le reflet de la mode. Dans les années 50-60, le marché de la robe de mariée est à son apogée. Les revues de mode conseillent les jeunes filles pour les transformer ensuite en robe d'été, de cocktail ou du soir. Dans cette optique, les couturiers utilisent alors des matières légères : l'organdi, le plumetis ou la toile.

    Paradoxalement, dans les années 70, la robe de mariée puise son inspiration dans l'Histoire et la tradition avec la création de personnages types : "robes Sissi", "Amboise"... Deux styles s'opposent depuis : la robe blanche "conte de fée" et celle résolument moderne aux couleurs et matières uniques. Et là, tout devient possible !

  • Pour aller plus loin sur la robe de mariée

      Musée Galliera, musée de la mode de la ville de Paris :
    10 avenue Pierre 1er de Serbie
    75016 Paris
    01 56 52 86 00

    Musée de la mode et du textile
    107, rue de Rivoli
    75001 Paris
    01 44 55 57 50

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27 mars 2007 2 27 /03 /mars /2007 00:07

Robes et tenues de mariage

La robe de mariée qui colle à votre physique

Être la plus belle dans la robe de ses rêves ? Oui mais…
En fonction de votre morphologie, il est des coupes qui vous avantageront plus particulièrement et d'autres à éviter à tout prix. Petite, pulpeuse, carrée, plate ? Évitez les fausses notes et trouvez votre modèle…




Corbis

  • Vous êtes petite

    Si vous faites moins d'un mètre soixante, la romantique robe à crinoline très près du corps ou le style empire - avec la taille sous la poitrine et le bas de la robe fluide - vous conviendront tout à fait.

    Bien proportionnée, vous oserez le glamour d'une robe fourreau. Pour plus d'élégance, avec une ouverture à l'arrière, mais veillez à ne pas faire apparaître le pli arrière de votre genou.

    L'idéal
    Une forme fluide et allongée pour vous grandir. La robe princesse en est l'illustration parfaite : sans séparation à la taille, elle épouse les épaules et la poitrine puis s'évase légèrement dans le bas.

    A éviter
    Les frou-frous, les formes trop larges ou trop volumineuses.

  • Vous êtes ronde

    Bien en chair, vous choisirez de préférence des robes fluides et légères. La mousseline est le tissu vaporeux par excellence. Vous pouvez même tenter des superpositions de transparence de tulle ou d'organdi.

    Une robe ou une jupe courte et droite vous conviendront également. De petites bretelles affineront le haut du corps.

    Un corsage qui se termine en pointe et une jupe longue masqueront un petit ventre.

    L'idéal

    Une robe style empire au tombé relativement droit. La robe à crinoline, près du corps en haut avec le bas bouffant et ample, masque joliment les silhouettes généreuses.

    À fuir impérativement

    Toutes les robes "Sissi" tout en volant et en dentelle, les plissés et les fourreaux qui ne pardonnent aucun petit ventre !

  • Vous êtes toute en finesse

    Filiforme, vous essaierez d'étoffer votre silhouette par des effets de sur-jupes. Vous enlacerez votre taille de gros nœuds ou attacherez un bustier à effet brassière.
    De fines bretelles ou une robe sans manches vous conviendront également.

    L'idéal

    Le style "amazone", près du corps devant et bouffant à l'arrière avec son "faux-cul". La robe "belle époque" avec ses jupes bouillonnées qui partent de la taille : elle met en valeur une taille fine et un ventre extra plat.

    À éviter

    Le style "empire" d'inspiration gréco-romaine, plutôt réservé aux décolletés généreux ! Le col bateau ou en U seront les plus indiqués pour les petites poitrines.

  • Quelques astuces

    N'hésitez pas à mettre en valeur vos atouts et tirer profit de vos défauts.

    Un cou et un port de danseuse : une robe trapèze à bustier ou décolletée dans le dos.

    De jolies épaules : un dos nu ou des emmanchures américaines (le col est montant et les épaules dégagées). Si vos épaules sont carrées, n'hésitez pas à choisir de larges bretelles.

    Des bras gracieux : des manches courtes et de longs gants.

    Une poitrine pulpeuse : une robe bustier, corsetée et à baleines ou encore un décolleté en V, en cœur ou en carré.

    Une petite poitrine : n'hésitez pas à choisir un haut travaillé : des perles, dentelles ou autres créeront un volume supplémentaire.

    Des jambes de star
    : une robe fourreau s'ouvrant sur le côté ou le devant seulement si vos genoux vous le permettent !

    Une taille peu marquée : des bretelles fines, une encolure carrée et non en V, une longueur de robe à la cheville.


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26 mars 2007 1 26 /03 /mars /2007 17:12

Conseils Forme & Santé

Conseils Forme & Santé

Cures version glamour


Corbis

Frappées par la concurrence des spa, les cures thalasso et thermales rivalisent d'imagination pour faire rimer bien-être et sensualité. Trois exemples enivrants.

Nolwenn du Laz

Pamplemousses et caviar à Port Crouesty

Avouons-le: certains centres de thalasso ont des allures d'hôpitaux, et recevoir son soin dans un local souterrain n'est pas vraiment grisant. Mais à Port Crouesty, dont le bâtiment est conçu comme un paquebot, on ne perd jamais de vue la mer. La cuisine diététique exquise vous autorise l'inavouable, comme un milk-shake aux framboises à 40 Cal seulement. Les virées possibles en bateau à moteur permettent des échappées-belles dans le golfe du Morbihan, jusqu'à l'île aux Moines, et les soins marins, impeccables, ne vous privent pas de propositions plus ludiques.

Entre deux traitements, on batifole librement sous les jets au fil d'un parcours aquatique au milieu des pamplemousses, et les massages exotiques à la carte n'ont rien à envier aux plus grands instituts. Essayez donc le soin du visage au caviar, comprenant un peeling aux perles de jojoba et aux acides de fruits, suivi d'une application d'un gel aux extraits d'huîtres et aux perles de caviar pour ressusciter en 45 min les peaux sèches et stressées (80 €).

La vie de château à Eugénie-les-Bains

Ici, point de peignoir et de tongs: on se promène en élégante liquette nid-d'abeilles et chaussons assortis. Ça n'a l'air de rien, mais ça change tout. On sirote des granités de tisane exquis, on s'immerge dans un «bain floral à la reine», infusé de sachets d'aromates, dans une pièce ravissante chauffée par un feu de bois, avant de se laisser flotter, comme en apesanteur, dans une mini-piscine privée dont l'eau est gorgée de kaolin pour se faire une peau de soie.

Comme les chambres sont superbes, et la cuisine minceur de Michel Guérard, une merveille, c'est une escapade que l'on fait volontiers en amoureux. On peut aussi en profiter pour prendre des cours de cuisine avec le grand chef, histoire de se régaler au retour sans prendre un gramme.

Paillette d'or et chocolat chaud à Biarritz

La vraie bonne idée de cet institut en pierre, avec murs d'eau et vue sur la mer, est d'avoir su s'organiser en quatre pavillons où tous les sens sont sollicités. Ainsi l'opale, tout rose, diffuse une brumisation d'eau de mer et d'huiles essentielles embaumant les bonbons.

Même la musique relaxante est au diapason. Dans cette thalasso ultra-glam, les soins aussi sont résolument séduisants. A commencer par le «hot chocolat», un mélange de fèves de cacao et d'huiles essentielles chauffé à température humaine, puis versé sur votre dos avant d'être diffusé, sur votre corps entier, par massage californien. L'esprit est détendu par cet arôme savoureux, tandis que la peau est hydratée, assouplie et raffermie.

 nscrivez-vous aussi au Chi Yang aux paillettes d'or 24 carats, plus sexy encore. Corps et visage sont enluminés par cette pluie de paillettes précieuses associées aux huiles de jojoba et d'onagre. Ce traitement anti-âge et nourrissant vous laissera un souvenir mémorable !

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26 mars 2007 1 26 /03 /mars /2007 16:37

Conseils Forme & Santé

Spécial Mincir

Redessiner son corps en se mouvant comme une star


Abaca

Pour redessiner son corps sur un tempo sensuel, on s'offre une ou deux séances de danse par semaine. Un programme ludique et gratifiant à choisir selon son profil et ses envies du moment.

Nolwenn du Laz, Ariane Goldet

  • Je joue de mes charmes

    La "danse autour de la barre"... la Pink School by Pink Paradise. On peut toutes s'initier à cette discipline née dans les cabarets de strip-tease anglo-saxons, à condition d'avoir une bonne tonicité musculaire, car c'est plutôt acrobatique !

    Le cours : deux heures. Une heure d'échauffement, pompes et abdos fessiers sur un gigantesque tapis de sol. Ensuite, chorégraphie autour de la barre, et on termine par des étirements.

    Les plus : on associe danse et gymnastique. Le corps plus ferme se redessine. Le port de tête est gracieux, la cambrure plus jolie. On marche avec grâce, même hissée sur des stiletto. On peut même acheter une barre sur place pour faire chavirer son bien-aimé… at home !

    Dress code : idéalement, short et marcel, donc jambes et bras nus pour une meilleure adhérence à la barre. Aux pieds, chaussures à talons indispensables.

    On aime : le décor - ultra-glamour et superchaleureux - et l'ambiance, très joyeuse car les participantes s'inscrivent en bande d'amies.

    Quand ? le mardi (de 19 à 21 heures) et le samedi (de 16 à 18 heures), au
    Pink Paradise, 49-51 rue de Ponthieu, Paris 8e . 25 euros le cours, 220 euros les dix.
    Je m'éclate à fond comme à la Star Ac'

    Nouveau concept de danse fitness, le Nike Dance Workout arrive en France sous les couleurs de Nike et du Club Med Gym. Les chorégraphies sont de Jamie King, chorégraphe de Madonna et de Britney Spears. Le thème : hier Bollywood, actuellement hip-hop... mais ça change tous les trois mois.

    Le cours : au choix, des séances de quarante-cinq minutes ou d'une heure. Echauffement, puis enchaînements en se déplaçant avant d'attaquer la chorégraphie. Décomposée en mouvements, répétés quatre fois chacun. A la fin de la séance, on la danse entièrement. Comme c'est toujours la même à chaque leçon, les débutantes peuvent se lancer en cours de route tandis que les assidues se perfectionnent.

    Les plus : on brûle jusqu'à 700 Cal par séance. On muscle entièrement son corps. On améliore la coordination de ses mouvements et sa souplesse, on entraîne son système cardio-vasculaire et musculaire, et on déstresse à coup sûr.

    Dress code : tenue de gym branchée, baggy, poignets et coudières, tennis.

    On aime : l'éclate en groupe, la musique et l'impression de se prendre pour une star en "prime time".

    Où ? Au Club Med Gym, 25 euros la journée, 375 euros le trimestre, renseignements au 08 20 20 21 22. Et dans vingt salles en province.
    Je réveille ma féminité

    La plus noble des danses orientales : la danse égyptienne, surnommée la danse du ventre. Pourtant, tout le corps travaille. Zoubeida Belbachir l'enseigne au Centre de danse du Marais.

    Le cours : une heure et demie. Il commence avec les pas de base, puis avec les enchaînements. Ensuite, on pratique des « isolations » des parties du corps, puis les « arrêts flashs » sur un mouvement au son de la percussion. On termine par des déplacements gracieux et voluptueux.

    Les plus : on s'affine et on se sculpte en courbes sensuelles. Avec souplesse et grâce, on se réconcilie avec son corps, c'est presque une thérapie !

    Dress code : jupe taille basse aux chevilles retenue par une ceinture et T-shirt court noué sous les seins pour que la prof puisse contrôler les ondulations. Pieds nus.

    On aime : la possibilité de s'inscrire selon son niveau. Le dépaysement et le plaisir de se sentir si féminine.

    Un seul bémol : laborieux pour celles qui n'ont pas le sens du rythme.

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26 mars 2007 1 26 /03 /mars /2007 15:14

Lipoapidectomie

Historique de la technique

Les problèmes de cellulite, de surcharges graisseuses, ont traversé bien des époques et se sont révélés être de véritables phénomènes de société. Les pratiques évoluent au fil du temps et sont fonction des innovations techniques et des demandes des patients. En 1979, ont lieu les premières tentatives de traitement visant l'élimination de la cellulite, initiées par les Fischer Père et Fils. Ceux-ci ont l'ingénieuse idée de broyer la graisse et de l'aspirer en introduisant une canule.

Il faut attendre 1985 pour que le Dr Illouz reprenne ces mêmes travaux et invente la technique de la liposuccion, une révolution en matière de chirurgie esthétique. Les praticiens ne savent plus où donner de la canule devant la forte croissance des demandes. Si son succès est sans appel et sa performance, en terme de volume, est notoire, la liposuccion est néanmoins une technique d'envergure et présente des risques, tant sur l'aspect de la peau (hématomes, tôle ondulée, gonflement) que sur la santé du patient.

Ces inconvénients ont suscité nombres d'interrogations chez les praticiens. Leur seul objectif devenait de trouver une technique efficace et sans danger.

En 1995, le Dr Hoefflin met au point la méthode de la lipodissolution en procédant par injections d'un liquide dit hypoosmolaire (sérum physiologique et eau).

En 1999, le Dr Guy Haddad décide d'améliorer la technique du Dr Hoefflin en développant une méthode innovante visant à l'évacuation de la graisse et à la destruction de tout ou partie des cellules graisseuses : la lipoadipectomie. Il met également au point un appareil permettant de réaliser cette technique : le lipoadipectron®.

Le lipoadipectron® est fourni avec un logiciel ultra-sophistiqué donnant une orientation très pointue du traitement à suivre. Les patients peuvent ainsi effectivement suivre l'évolution du traitement et de ses résultats. Le médecin garde toutefois la liberté d'adapter le traitement.

Mincir des fesses avec la lipoadipectomie

Avoir des fesses "à la brésilienne", hautes et fermes, tel est le souhait de bien des femmes ! Un manque d'activité physique, des déséquilibres hormonaux, des régimes alimentaires à répétition viennent assombrir ce rêve, car ce sont autant de facteurs qui, avec le temps, provoquent un relâchement des contours du corps dont les fesses sont les premières victimes.

Grâce à la lipoadipectomie, vous retrouverez rapidement de jolies fesses redessinées. La peau est de nouveau plus ferme, regalbée et débarrassée des cellules graisseuses existantes. Il ne vous reste qu'une chose à faire : choisir un nouveau maillot pour l'été !

Traitement en cours


Culotte de cheval + Haut des cuisses

Culotte de cheval + Fesses + Derrière des cuisses

Traitement terminé


Bas des fesses + Genoux

 

Mincir des hanches avec la lipoadipectomie

La cellulite et les rondeurs se logent fréquemment sur les hanches.
L' aspect granuleux de la peau est pour vous désagréable au toucher et peu esthétique, vos formes vous déplaisent et vous ne rêvez que d'une silhouette remodelée sur la durée ?

Quelques séances de lipoadipectomie restructureront vos hanches, enfin libérées des cellules graisseuses. Affinées, vous oserez enfin les montrer !

Traitement en cours


Bourrelets

Traitement terminé


Hanches

Hanches

Hanches

Hanches

 

Mincir des cuisses avec la lipoadipectomie

Les amas graisseux et la cellulite choisissent bien souvent, comme terrain d'élection, les cuisses. La peau de vos cuisses accueille de nombreux capitons tous plus tenaces et des rondeurs rebelles ? Comble du comble : elle vous empêche de reprendre toute activité physique du fait de sa perte d'élasticité et de tonus ?

Point d'inquiétude, mesurez-vous rapidement au traitement de la lipoadipectomie et c'est en perte de centimètres que vous apprécierez le résultat. Pour une peau plus belle, uniforme, affinée et raffermie.

Dernière étape dans votre programme d'amincissement : acheter un joli petit short pour mettre en valeur vos nouvelles formes et vous entraîner enfin comme une vraie sportive !

Mincir du ventre avec la lipoadipectomie

Le ventre constitue un point clé de la silhouette ; cette partie du corps est cependant souvent malmenée par les éternels régimes dits à effet "yo-yo", par les grossesses ou plus simplement par un vieillissement cutané.

Première conséquence : la qualité de la ceinture abdominale est détériorée : elle perd sa tonicité et sa fermeté. La sédentarité n'arrange rien... comment retrouver, alors, un ventre plus lisse ?

La lipoadipectomie vous donne la réponse : grâce à la combinaison de ses phases, en fonction de vos besoins, vous pourrez désormais exhiber un ventre gainé, plus plat, "zéro défaut" !

Traitement en cours




Ventre + abdomen

 

 
Traitement du relâchement cutané et des rides après un amincissement

Après un amincissement, il arrive que la peau du visage mais aussi des bras, de l'intérieur des cuisses ou du ventre se relâche. Le visage se creuse et les rides se marquent plus fortement. Pour y remédier, il existe différentes techniques sans chirurgie.

Thermage : relâchement important de la peau

La technique du Thermage utilise le système de la radiofréquence pour permettre une rétractation cutanée optimale.

Pour plus d'infos : Thermage

Titan : retendre une peau fine, relâchée et très ridée

Le Titan utilise l'énergie lumineuse pour stimuler la production de collagène en profondeur, sous la surface de la peau. Cette énergie est répartie plus uniformément pour chauffer le derme. La lumière infrarouge utilisée est non nocive pour chauffer le derme. Cet appareil chauffe l'eau présente dans les tissus cutanés. Cet échauffement du derme, sur 2 à 4 mm, a pour effet une contraction immédiate du collagène et un raffermissement subséquent de la peau.

Les longueurs d'onde émises sont situées dans un spectre allant de 1100 à 1800 nm. Pendant le traitement, l'épiderme est protégé grâce à un refroidissement continu fourni par la pièce à main Titan. Après le traitement, l'augmentation de la production de collagène renforce la tenue des tissus et améliore la tonicité de la peau, l'aspect des plis et des rides. Tous les phototypes pouvant être traités.

Les médecins préconisent généralement entre deux à trois séances en fonction des cas, les deux premières séances étant obligatoirement espacées de huit à quinze jours.

Immédiatement après le traitement, quelques légers effets secondaires peuvent apparaître, tels que des rougeurs ou un léger gonflement sur la zone traitée. Ils disparaissent généralement au bout de quelques heures.

Les résultats sont visibles du premier jour à deux mois maximum, à mesure de la production du collagène et du raffermissement des tissus.



Remaillage : retendre la peau relâchée du menton

Le remaillage consiste à fabriquer dans la peau un maillage de différents fils. Il existe différentes techniques de remaillage : fils d'or, fils crantés, Crantor et remaillage transitoire. Quelque soit la technique employée, les fils utilisés sont résorbables.

Pour plus d'infos : Fils crantés

Laser Fraxel : retendre une peau fine, légèrement relâchée et très ridée

Le laser Fraxel est un laser ablatif fractionné, qui utilise le système de la dermabrasion mais en quatre temps. Ce laser permet un renouvellement de la peau sans anesthésie, sans éviction sociale, sans douleur ni effets secondaires difficiles à gérer comparé à d'autres techniques comme la dermabrasion ou le laser CO2.

Le laser Fraxel est réalisable sur tous les phototypes et sur toutes les parties du corps. Pour le confort du patient, l'appareil peut être utilisé avec un anesthésiant local, sous forme de crème.

Les suites sont légères : un simple érythème peut se produire sur la peau (la peau revêt alors un aspect rosâtre pendant 5 à 7 jours). Juste après la séance, la femme pourra se maquiller ou appliquer tout autre produit de beauté sur la zone traitée et l'homme pourra se raser. Un nouveau tissu cutané se développe rapidement.

Les résultats sur le rajeunissement de la peau apparaissent entre 1 à 4 séances. Les séances sont généralement espacées de 7 à 10 jours.

Le laser Fraxel produit ses effets sur 5 ans. Il peut être combiné avec des injections de toxine botulique (botox) pour les rides et ridules d'expression frontales.



Injections : remplir les creux du visage

Les injections comblent les dépressions de la peau causées par les rides et stimulent le processus de régénération des cellules et des fibres endommagées par le vieillissement.

Il existent de nombreux produits dont les effets durent entre 6 mois à 5 ans : produits à base d'acide hyaluronique, Sculptra, Bio-Alcamid, Hylaform, New Fill, Aquamid, Botox, etc.

Toutes les rides peuvent être traitées avec les injections : les rides du front, les rides du lion, les pattes d'oie, les sillons naso-géniens, le plissé solaire, les rides jugales, les plis d'amertume.

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25 mars 2007 7 25 /03 /mars /2007 16:30

L'orgasme vu par les hommes

Sexe Expériences

L'orgasme vu par les hommes


Corbis

Le nôtre, le leur... Comment nos partenaires de jeu ressentent-ils le plus intime de nos émois ? Pour le savoir, nous avons réuni six spécimens de tous âges et lâché le "grand" mot. Surprises garanties.

Marie-Claude Treglia

  • Ils se sont mis à table...

    Tous auraient préféré le tête- à-tête. Parler d'orgasme, OK. Avec une femme, soit. Mais au milieu d'autres mâles inconnus... C'était tentant de reculer. Même le sexologue n'en revenait pas quand six ont accepté le jeu : "Une telle réunion, il y a dix ans, aurait été inenvisageable, a souligné Philippe Brenot (Psychiatre, thérapeute de couple, enseignant de sexologie à Paris - V et auteur de "Inventer le couple" et de "Le sexe et l'Amour"). Les femmes parlent entre elles de ce type de sujet, les hommes très peu. Surtout s'ils ne se connaissent pas."

    Ils étaient donc six, ce matin-là, réunis au grand jour, dans un coin reculé d'un café parisien, entre une journaliste et un sexologue, pour plancher sur le plus intime des sujets. Des hommes de 25 à 55 ans, les uns mariés, les autres plus, ou pas encore, venant d'horizons professionnels variés. Seuls points communs : une gourmandise non feinte pour les choses de l'amour, une curiosité passionnée pour les femmes. Et une bonne dose de courage et de sincérité.
    Résultat : une conversation passionnante et drôle et des confessions somme toute rassurantes sur l'avenir de nos émois.

    Ils se sont mis à table...
    Alex, 25 ans, célibataire, musicien.
    Marc, 38 ans, marié, deux enfants, ostéopathe.
    Sébastien, 34 ans, marié, un enfant, commercial.
    Hervé, 54 ans, divorcé, un enfant, journaliste sportif.
    Gilles, 42 ans, en cours de divorce, un enfant, juge.
    Julien, 48 ans, divorcé, deux enfants, architecte.
    Philippe Brenot, sexologue.

  • Quand vous entendez le mot "orgasme", à quoi pensez-vous ?

    Alex : Plaisir de l'autre. Abnégation masculine... (Rires)

    Julien : Le mur du son.

    Sébastien : Supercherie. (Rires)

    Hervé : Un mythe pénalisant. L'essentiel, pour moi, c'est le plaisir. L'orgasme, on l'atteint parfois, mais ce n'est pas une obligation. On peut avoir un moment intense de plaisir sans orgasme. ça ne m'inquiète pas plus que ça chez les femmes, car je sais que, moi non plus, je ne l'atteins pas toujours.

    Philippe Brenot : C'est surprenant. Vous dissociez donc orgasme et éjaculation ?

    Hervé : Evidemment.

    Julien : Moi aussi.

    Alex : Bien sûr. Quand le mental et l'imaginaire ne suivent pas, il y a des éjaculations tristes. Quand c'est mécanique, ce n'est pas un orgasme. Inversement d'ailleurs, il arrive que l'on ne puisse plus éjaculer (parce qu'on l'a déjà fait ou qu'on a passé un cap) et que l'on atteigne des sommets de plaisir.

    Marc : De toute façon, c'est tellement fugace, la sensation de l'éjaculation... Et ensuite tout s'effondre. Ce n'est pas ça le plus intéressant.

    Sébastien : Moi, je peux m'en passer. Je préfère voir ma partenaire jouir, une fois, deux fois, ou trois. Ça, ça m'éclate !

  • Orgasme masculin et orgasme féminin, est-ce si différent ?

    Gilles : Nous, on jouit avec notre cerveau reptilien. Les femmes avec leur néocortex ! Par un effet de miroir, l'orgasme féminin nous fait dépasser notre petite jouissance mécanique, et là, ça devient métaphysique. (Rires)

    Marc : J'ai une véritable fascination, moi aussi, pour l'orgasme féminin. Il me semble tellement plus varié, plus riche, plus vaste que le nôtre, tout pâle à côté du leur... Il est tellement imprévisible aussi, et tant mieux.

    Sébastien : Chez la femme, c'est un truc qui vient davantage des tripes. Quand elle jouit, elle a l'air tout au fond d'elle-même, elle ne voit plus rien autour, alors que moi, je peux rester sensible au détail, remarquer, par exemple, au moment de jouir, qu'elle a une moue bizarre ou qu'elle a mis sa main de telle manière...

    Hervé : Ce que les femmes ont l'air de vivre me semble, moi, très proche de ce que nous vivons. Une sensation qui peut varier du simple choc électrique, la "décharge" (Rires), à la "petite mort", la vague qui submerge.

  • L'orgasme de votre partenaire, vous le vivez comme un cadeau ou comme une pression, une obligation ?

    Sébastien : Un vrai cadeau ! Mais les magazines féminins nous ont mis une pression énorme ces dernières années. En plus, la vogue des sex toys, pour nous, c'est un véritable malheur ! (Rires) Il paraît que l'on peut même trouver un vibro à télécommande...

    Hervé : Moi, j'avoue que ça m'amuse plutôt d'être traité en sex toy. Mais après, pas de petit déj ! (Rires)

    Julien : Cela fait plus de vingt ans que la femme est maîtresse à bord : son plaisir passe avant le nôtre. Certaines mettent carrément cartes sur table. Avec ma dernière nana, c'était comme ça : elle d'abord. Moi, j'adore, mais il y a des hommes que ça peut bloquer...

  • À quoi reconnaissez-vous l'orgasme de votre partenaire ?

    (Eclats de rire) Sébastien : ça, ce n'est pas toujours facile. Il y a des artistes de la simulation... Avec ma femme, je reconnais très bien : elle a les fesses qui tremblent, l'anus qui se resserre, elle se met à vibrer, elle a la chair de poule...

    Gilles : Pour moi, il y a deux types d'orgasme. La cavalcade, avec les contorsions, les hurlements... ça a perdu tout intérêt depuis qu'on entend les mêmes cris sur les courts de Roland-Garros... Et puis le vrai, silencieux, immobile. Comme dans un film de guerre, le silence au milieu des bombes. Vous voyez la scène du « Soldat Ryan » ? Quand le son est tellement saturé que tout s'arrête. Tout disjoncte, même le cœur ne bat plus. On sent juste la contraction totale, en apnée. C'est magnifique. Le cri est vulgaire, il peut être simulé. Pas le silence absolu.

    Julien : Et le regard qu'elle a à ce moment-là... L'expression du visage.
    C'est peut-être le seul indice qui ne trompe pas. Sinon, nous, les hommes, n'avons pas prise là-dessus.

    Hervé : Et alors ? Moi, ça ne me choque pas la simulation. Sauf si elle m'en fait des kilos, là, ça m'énerve. Mais c'est par gentillesse qu'une femme simule...

    Alex : Oui, pour ne pas vexer l'autre. Moi aussi, ça m'arrive

  • Un homme peut donc simuler ?

    Alex : Bien sûr, oui.
    Pas l'érection, malheureusement, ni l'éjaculation, mais tout ce qui va avec. Il m'est déjà arrivé d'en rajouter pour ne pas blesser une partenaire. Je crois même qu'il y a toujours des temps de simulation quand on fait l'amour. C'est comme les paroles pour meubler les silences d'une conversation. Dans les moments faibles, on fait un peu son cinéma. C'est aussi une façon de relancer l'excitation.

  • Y a-t-il des façons féminines d'exprimer l'orgasme qui vous dérangent ?

    Sébastien : Moi, j'ai un blocage quand elles ont les yeux qui se révulsent.

    Hervé : Ah bon ?

    Julien : Moi, c'est ce que je recherche. C'est la vision de la jouissance de l'autre qui me fait jouir.

    Hervé : Moi, ce qui m'énerve, c'est trop de cris. J'ai l'impression de jouer dans un mauvais porno, et là, franchement, je me demande ce que je fous là.

    Julien : J'ai parfois du mal, moi aussi, avec le côté "star du X". Je suis frappé aujourd'hui par les manières de faire et de dire, les positions, les dessous de certaines, surtout les plus jeunes, directement inspirés des films porno.

    Marc : C'est curieux cette mode qu'on croit calquée sur l'imaginaire masculin, alors qu'il n'y a rien de plus "débandant". Je n'ai jamais vu à l'écran quelque chose qui ressemble à un orgasme.

    Alex : Moi, rien ne me dérange. Sauf quand on me fait mal. Il m'est arrivé de me faire mordre ou griffer par une fille qui prenait son pied. J'ai eu l'impression d'être nié, oublié. Elle était avec son plaisir, moi j'étais devenu un objet...

  • Face à une partenaire qui ne jouit pas, comment réagissez-vous ?

    Julien : Je recommence. (Rires)

    Alex : Je parle, j'essaie de comprendre.

    Sébastien : Moi ça m'énerve. Vraiment. Je suis même vexé.

    Hervé : Mais non, c'est juste un jour sans. Un point, c'est tout.

    Sébastien : Ah non ! Je stresse et je me pose des tas de questions...

    Marc : Il y a vingt ans, je culpabilisais un peu (rires), aujourd'hui, je dédramatise. Il peut y voir mille raisons, totalement indépendantes de nous. Rien n'est réellement garanti avec l'orgasme. Même le meilleur des Casanova n'est jamais certain de parvenir à ses fins. Et les fanfarons qui disent le contraire ont juste besoin de se rassurer.

    Hervé : En fait, tout dépend de ce qu'il se passe ensuite. De l'instant d'après. Comment ma partenaire me regarde, comment elle m'embrasse, ou pas, comment elle me prend la main, comment elle se met sur mon épaule... Si ça se passe bien, le reste n'a aucune importance. On n'est pas obligé de battre le record du monde à chaque fois. (Rires) ça suffit, les performances ! On nous calibre sur plein de choses. On ne doit pas calibrer la sexualité. Il faut arrêter ça, pour les hommes comme pour les femmes.

    Philippe Brenot : Mais il existe également des femmes qui n'ont jamais joui et qui ne jouiront jamais de leur vie. Vous avez pu en rencontrer...

    En chœur : Oui !

    Hervé : Oui. Mais je vais vous poser une question. Est-ce grave, docteur ?

    Philippe Brenot : Non... Enfin oui, c'est grave aujourd'hui, à cause de la société qui sacralise le sujet.

    Hervé : Mais avoir du plaisir, n'est-ce pas suffisant ?

    Philippe Brenot : Oui, c'est ce que l'on essaie de faire ressortir en thérapie. Le but, c'est d'amener ces femmes à prendre conscience qu'elles ont du plaisir. Mais très souvent, elles sont tellement focalisées sur l'idée de l'orgasme qu'elles n'arrivent plus à le ressentir.

Sébastien : Un truc radical : le cunnilingus. Elles sont toutes clitoridiennes...

Gilles : Disons que c'est plutôt un bon commencement, un passage nécessaire...

Julien : Moi, j'adore vraiment, surtout depuis que les filles s'épilent davantage. C'est mon bonheur de faire jouir une fille comme ça.

Sébastien : Il y a aussi les seins. Plus exactement, les tétons. Et aussi un point irrésistible, juste entre l'anus et le vagin : le périnée. Magique ! Et puis l'anus, bien sûr, mais pas chez toutes les femmes, et pas à n'importe quel moment.

Marc : Passé un certain stade d'excitation, toutes les zones du corps deviennent érogènes et peuvent déclencher un orgasme. Surtout là où la peau est la plus fine, ça se sent sous la pulpe des doigts : l'intérieur du coude, la nuque...

Gilles : Moi, j'ai vu des femmes jouir en me faisant plaisir à moi.

Julien : Oui, c'est vrai. Une femme qui t'aime et qui te désire peut atteindre l'orgasme rien qu'en te dévorant.

Philippe Brenot : Quand les sexologues américains Masters et Johnson ont fait leur étude entre 1953 et 1958, ils ont trouvé sept sujets capables de jouir sans stimulation, juste par concentration... Il s'agissait de sept femmes. C'est impossible pour un homme. Mais pour une femme qui se connaît très bien, ça ne l'est pas.

Alex : Le plus important, je pense, c'est l'ambiance, le contexte... Il faut être détendu et également disponible. Et aussi bien se connaître soi-même. L'été dernier, j'ai eu une relation très brève et très intense avec une fille de 22 ans, hyper bien dans son corps, qui faisait de la danse, du yoga... Et qui se connaissait suffisamment pour me guider sans en avoir l'air. Je la suivais, elle me suivait. C'était purement instinctif. Une nuit géniale.

Sébastien : Un truc radical : le cunnilingus. Elles sont toutes clitoridiennes...

Gilles : Disons que c'est plutôt un bon commencement, un passage nécessaire...

Julien : Moi, j'adore vraiment, surtout depuis que les filles s'épilent davantage. C'est mon bonheur de faire jouir une fille comme ça.

Sébastien : Il y a aussi les seins. Plus exactement, les tétons. Et aussi un point irrésistible, juste entre l'anus et le vagin : le périnée. Magique ! Et puis l'anus, bien sûr, mais pas chez toutes les femmes, et pas à n'importe quel moment.

Marc : Passé un certain stade d'excitation, toutes les zones du corps deviennent érogènes et peuvent déclencher un orgasme. Surtout là où la peau est la plus fine, ça se sent sous la pulpe des doigts : l'intérieur du coude, la nuque...

Gilles : Moi, j'ai vu des femmes jouir en me faisant plaisir à moi.

Julien : Oui, c'est vrai. Une femme qui t'aime et qui te désire peut atteindre l'orgasme rien qu'en te dévorant.

Philippe Brenot : Quand les sexologues américains Masters et Johnson ont fait leur étude entre 1953 et 1958, ils ont trouvé sept sujets capables de jouir sans stimulation, juste par concentration... Il s'agissait de sept femmes. C'est impossible pour un homme. Mais pour une femme qui se connaît très bien, ça ne l'est pas.

Alex : Le plus important, je pense, c'est l'ambiance, le contexte... Il faut être détendu et également disponible. Et aussi bien se connaître soi-même. L'été dernier, j'ai eu une relation très brève et très intense avec une fille de 22 ans, hyper bien dans son corps, qui faisait de la danse, du yoga... Et qui se connaissait suffisamment pour me guider sans en avoir l'air. Je la suivais, elle me suivait. C'était purement instinctif. Une nuit géniale.

Alors, selon vous, on ne fait jamais de progrès ?

( Eclats de rire ) Sébastien : Bien sûr qu'on apprend au fur et mesure. En observant les réactions des unes, des autres...

Julien : Mais non, aucune femme ne se ressemble. Pourtant, c'est vrai, si je me revois à l'âge de 17 ans (rires), ce n'était pas très brillant... (Rires)

Hervé : Parce qu'à 17 ans, on est trop occupé à se découvrir soi-même. Ce qu'apporte le temps, c'est la confiance en soi. Plus on se connaît, moins on se sent en danger. On sort de la performance, on est plus dans le lien, le don, l'offre.

Julien : C'est peut-être ça, la "maturité"... En vingt ans, j'ai la sensation d'être passé d'une sexualité à une autre. Plus jeune, je ne pensais qu'à mon plaisir. D'ailleurs, je couchais beaucoup. Aujourd'hui, tirer mon coup, ça ne m'intéresse plus. Ce que j'adore, c'est faire monter l'autre, la voir monter...

Alex : Oui, c'est ça. Même une seule nuit d'amour, c'est un vrai don de soi.

Et le point G, selon vous, c'est de l'intox ?

Hervé : Une copine, un soir, m'a téléphoné pour m'annoncer : "ça y est, j'ai trouvé mon point G !" Ils nous polluent, les magazines (rires), avec leurs points !

Sébastien : Moi, j'en ai connu une qui voulait systématiquement qu'on le cherche. On n'a jamais trouvé. (Rires)

Julien : Mais si, ça existe. J'ai une petite amie qui savait exactement où il était placé, elle me demandait de m'attarder dessus, ça la faisait grimper au plafond.

Philippe Brenot : ça existe, oui. C'est une zone qui se trouve dans le tiers supérieur avant du vagin, reconnaissable par sa texture différente. Elle est si sensible chez certaines qu'il suffit de la caresser un peu pour déclencher un orgasme. Mais ce point-là est devenu un mythe : une sorte de bouton à actionner. Alors qu'en fait, on en sait très peu, aujourd'hui encore, sur le sujet, comme sur la sexualité

Et des femmes fontaines, vous en avez rencontré ?

Sébastien : Oui, une. Un fleuve s'était libéré, pendant que je me retirais. Visiblement, c'était la première fois pour elle aussi. Elle disait : « Mais qu'est-ce qui m'arrive ? » J'étais très impressionné.

Hervé : Moi aussi, ça m'est arrivé une fois. Elle a regardé ça avec un regard fabuleux et moi pareil. On a éclaté de rire, et c'est devenu un jeu : « faire la fontaine ».

Philippe Brenot : C'est une forme d'orgasme rare, encore en cours d'exploration. Certaines femmes auraient un vestige de prostate, le liquide pourrait provenir de là... Peut-être qu'il implique une relation particulière à l'autre, une autre disposition d'esprit...

  • Si vous aviez un message à faire passer aux femmes ?

    Marc : Ne changez rien, continuez à nous plaire, à nous exciter.

    Alex : On jouit mieux quand vous jouissez aussi. Mais plus on en sait, mieux ça se passera. alors parlez-nous. Quand il y a un problème, n'ayez pas peur de nous vexer. Ce n'est pas grave, ça passe.

    Sébastien : Ne faites pas semblant. Dévoilez-vous un peu plus, dites-nous de quoi vous avez envie.

    Gilles : Apprenez à vous connaître. N'attendez pas tout de nous.

    Julien : Préservons le mystère.

    Hervé : Ne nous prenons surtout pas la tête, ce n'est qu'un jeu. Gardons le sens de l'humour... Non à la dictature de l'orgasme ! (Rires)

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    25 mars 2007 7 25 /03 /mars /2007 16:19

    Mincir en conservant ses formes

    Spécial Mincir

    Mincir en conservant ses formes

    Abaca

    Comment affiner ses cuisses, perdre du ventre et gommer ses poignées d'amour tout en conservant des seins pulpeux et un décolleté harmonieux ?

    Ariane Goldet, Sylvie Charier

    • Je repulpe mes joues

      Elles se creusent, et nous font instantanément de l'ombre. Quels secrets ont ces stars qui affichent des joues pleines et des pommettes rebondies avec une silhouette longiligne ?

      Version soft avec la cosméto
      - Fondante, l'émulsion Capture Sculpt Emulsion Re-Pulpante de Dior, avec son complexe volumateur exclusif.
      - Généreux, le Soin Redensifiant Volumateur Académie associe des microsphères de collagène à un actif antirelâchement pour combler les creux.
      - Onctueux, le Lipofilling Soin anti-âge liftant profond Correction volumes de Lierac, version light du lifting et des micro-injections de graisse.
      - Fluide, le Soin Liftant Embryolift Filorga, mise sur l'association d'ADN embryonnaire et de polypeptides pour assurer un effet tenseur et redensifiant.

      Version hard chez le dermato
      L'aquaréjuvénation, cette projection-aspiration d'eau sous pression enrichie en vitamines, oligoéléments et minéraux, donne un véritable coup de fouet aux fibroblastes et « regonfle » la peau. 150 euros la séance.
      La mésothérapie, une multitude de micro-piqûres superficielles sur l'ensemble du visage, pour booster le métabolisme de la peau et donner une mine pimpante. 120 euros la séance.
      Les injections d'acide hyaluronique, pour combler les sillons nasogéniens, relever légèrement les pommettes et remodeler le visage. 300 euros la séance.

    • Je garde mes seins

      Une belle poitrine est une poitrine riche en tissu graisseux. Ce qui explique que nos seins fondent dès qu'on perd quelques kilos. Pour les maintenir au balcon...

      Version soft avec la cosméto
      Innovant, le Bikini Top de Dior retonifie, remodèle et repulpe le galbe du sein grâce à un complexe restructurant.

      Version hard avec la chirurgie
      Les nouvelles prothèses mammaires en gel de silicone cohésif, de plus en plus agréables au toucher pour un effet archinaturel. Entre 2 000 et 5 000 euros l'intervention.

      Version sexy avec la lingerie
      Les soutiens-gorge push-up pour créer l'illusion parfaite. Au choix : le bandeau Basics de Dim ou le push-up de Wonderbra.

    • Je façonne ventre et taille

      La sédentarité, la gourmandise, le grignotage, la maternité et l'âge épaississent cette région du corps. Particulièrement récalcitrante, c'est la graisse la plus difficile à déloger.

      Version soft avec la cosméto
      Le Soin Remodelant VentreTaille de Clarins bloque la propagation des adipocytes et empêche cette zone de s'empâter. 65 euros.

      Version ludique avec les accessoires
      Le hulla hoop, un cerceau qui gaine le ventre et affine la taille. Un exercice à pratiquer dix minutes par jour.
      La méthode Pilates. On se recentre sur son corps et sa respiration. On étire la cage thoracique, on se redresse, on s'allonge et, finalement, la taille se creuse

      J'affine mes cuisses

      C'est là, surtout, qu'on engrange au cas où l'on viendrait un jour à manquer. Et de ce côté-là, les gynoïdes sont particulièrement bien placées.

      Version sportive avec la gym
      Ski de fond en hiver, marche en côte le reste de l'année.
      Autre tactique : les séries sur les machines en salle, pour travailler les adducteurs et les abducteurs.

      En solo à la maison
      - Pieds au sol, cuisses écartées, mains posées à plat sur les genoux fléchis à 90 °. Monter lentement sur la pointe des pieds et redescendre lentement en expirant. Dix séries de cinq exercices.
      - Allongée au sol sur le dos sans se cambrer, jambes tendues vers le plafond. Les descendre en ouverture le plus bas possible en inspirant, maintenir quelques secondes puis les remonter en expirant. A faire vingt-cinq fois.

    • Je fais rebondir mes fesses

      Rien de moins glamour qu'une fesse plate ou en goutte d'huile. Heureusement, il existe des moyens de les remonter.

      Version tonique
      - Abandonner l'ascenseur et monter les marches légèrement penchée vers l'avant.
      - A la maison avec le Vélo Elliptique Lilas de Care pour faire travailler les cuisses et les fessiers, tout en sollicitant les bras et les pectoraux.

    • J'évite les bras en drapeau

      C'est la hantise de toutes celles qui frôlent la quarantaine. Et comme il est plus facile de prévenir que de guérir...

      Version soft avec la cosméto
      Fraîche, la mousse craquante de Fermeté Bras Lifteur de Méthode Jeanne Piaubert gaine instantanément le bras.
      Confortable, la Crème Bras Nus d'Orlane tonifie et soutient le bras d'un maillage invisible.

      Version tonique avec un exercice
      Assise par terre, dos au pied du lit, mains posées sur le matelas, se soulever lentement, dos bien droit, à la force des bras. Rester quelques secondes bras tendus, puis redescendre.
      A faire vingt-cinq fois.

      Version luxe chez le dermato
      Le Laser multifonctions Cutera. Ses rayons infrarouges chauffent et stimulent le derme profond, provoquant ainsi une cicatrisation qui, peu à peu, remodèle la face interne des bras.
      A partir de 300 euros la séance ; en prévoir trois ou quatre, puis deux fois par an en entretien.

      Remerciements aux docteurs Nadine Pomarède, dermatologue, et Patrick Trévidic, chirurgien esthétique

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    Published by onana henri martel - dans regime123
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